Le bracelet en caoutchouc des années 60. Une touche de modernité dans un design classique. Le bracelet en caoutchouc Elka Arinis Tropic est une ode à l'âge d'or des montres de plongée des années 60. Alliant fonctionnalité et sophistication, ce bracelet en caoutchouc véritable haute technologie rend hommage aux bracelets Tropic du passé avec une extrémité effilée, deux passants et un motif texturé fidèle à l'époque. Malgré son look vintage, ce bracelet est résolument moderne, avec des barrettes à ressort faciles à utiliser et une durabilité exceptionnelle. Les petites perforations du bracelet Elka Arinis Vintage Tropic sont soigneusement conçues pour permettre à l'air et à l'eau de circuler, offrant au porteur un grand confort par temps chaud. Caractéristiques principales : Caoutchouc véritable, Fabriqué en Suisse, Couleur noire ou bleue, Taille 20/18 mm, Haute résistance aux intempéries et aux températures.

Maille milanaise. Le bracelet milanais est également appelé bracelet à maille milanaise car il est composé de boucles entrelacées (mailles fines). Il est disponible en version fine et robuste, conférant à la montre une allure élégante ou solide. Il s'adapte à tous les poignets. Ce type de bracelet était fabriqué à la main dès le XIIIe siècle. Dans les années 1920, le procédé a été remis au goût du jour par des fabricants allemands, ce qui lui a valu un regain de popularité. Les bracelets milanais se distinguent par leur construction dense et serrée, formée de ressorts en acier qui leur confèrent une surface lisse et fine. Ils sont extrêmement confortables à porter et laissent la peau respirer.

Caractéristiques de l'Arinis CALIBRE La Joux Perret G100 automatique 4 Hz / 28'800 A/h, stop seconde Réserve de marche de 68 heures FONCTIONS Heures, minutes, seconde centrale, date (disponible sur certains modèles) LUNETTE TOURNANTE UNIDIRECTIONNELLE 120 Positions avec insert en céramique rempli de Superluminova MATÉRIAUX DU BOÎTIER Acier 1.4404 DIMENSIONS DU BOÎTIER 41 mm de diamètre, 11,85 d'épaisseur, 46,50 mm d'entrecorne COURONNE VISSÉE Acier 1.4427 FOND VISSÉ Acier 1.4404 AIGUILLES Nickel brossé Couleur - heures, minutes et secondes remplies de Superluminova VERRE Verre saphir type boîte Chevé - traitement antireflet anti-rayures sur une face ÉTANCHÉITÉ 200 mètres / 20 bar

LUNETTE TOURNANTE UNIDIRECTIONNELLE 120 Positions (dents) Insert en céramique bleue rempli de Superluminova C1 et ligne orange Céramique noire avec Superluminova Old Radium et ligne orange

Cadrans, aiguilles et Superluminova. Cadran incurvé pour modèles ELKA X et D. Aiguilles incurvées pour modèles ELKA X et D ; chiffres remplis de Superluminova uniquement sur les modèles ELKA X. Les pigments Swiss Super-LumiNova sont le choix de l'industrie horlogère suisse pour une rémanence optimale. Swiss Super-LumiNova est non radioactif, compatible REACH, hautement résistant aux températures et aux influences environnementales. Il fonctionne comme une batterie de stockage de lumière : la lumière la charge, puis la lumière est émise en continu. Ce processus d'activation et d'émission lumineuse est répétable indéfiniment, le matériau ne vieillissant pas. Il est rechargeable à la lumière du soleil ou artificielle. Mélangé à un liant spécifique adapté, Swiss Super-LumiNova peut être utilisé sur les cadrans et les aiguilles.

À propos des bracelets Nato. Beaucoup pensent que le bracelet NATO doit son nom à l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN). Par conséquent, l'histoire courante veut que la montre ait été portée par les forces de l'OTAN, mais ce n'est techniquement pas le cas. En réalité, le nom est l'abréviation de « NATO Stocking Number », un terme qui fait simplement référence au fait que le bracelet pouvait être acheté dans la boutique d'approvisionnement de l'OTAN. Le bracelet NATO original est né en 1973 pour répondre au besoin du ministère britannique de la Défense de fournir un bracelet de montre très résistant à l'armée britannique. L'objectif du ministère était de concevoir un bracelet résistant en toutes conditions. L'objectif était de surmonter les problèmes rencontrés avec les bracelets de l'époque : problèmes d'humidité sur le cuir sous les climats tropicaux, risque de reflet du bracelet en acier lors d'une mission militaire, faible fiabilité des bracelets en caoutchouc, ainsi que risque de perte de la montre due à la rupture des barrettes à ressort (y compris celles de la boucle). Ils n'étaient disponibles qu'en gris amiral et mesuraient tous 20 mm de large. Les bracelets étaient en nylon.

Histoire du nom Évoquant la riche histoire et le patrimoine du lac de Neuchâtel, l'« Arinis » est une élégante montre de plongée fidèle aux principes de design fondamentaux de la marque. Elle hérite des dimensions, du verre saphir chevé-box, de la forme des cornes et du bord latéral emblématique de la série originale. Ce garde-temps robuste est doté d'une lunette en céramique, de chiffres Super-LumiNova luminescents et d'une étanchéité de 20 bars (200 m). Baptisée « Arinis » – l'ancienne appellation de Saint-Blaise au premier millénaire – la montre célèbre la position du village sur les rives du lac de Neuchâtel et le passé fascinant de la région, des tribus celtiques à la civilisation des Palafittes sur pilotis. Le design de l'« Arinis » fait subtilement référence à cette histoire, avec des éléments rappelant la roue celtique trouvée dans le lac, les objets en céramique découverts au Chemin du Diable à Saint-Blaise et l'esprit même du lac. Même l'aiguille des minutes, en forme de flèche antique, rend hommage aux peuples qui vivaient le long de ces rivages il y a 12 000 ans.

Petite histoire sur le nom d'Arins Le village de Saint-Blaise fut fondé à l'époque de Charlemagne (800 apr. J.-C.). Il fut d'abord appelé Arins, ou encore Arens, mais celui-ci fut remplacé par Saint-Blaise en 1280. Le nom d'Arins (Arinis en latin) apparaît pour la première fois en 1011 dans un acte par lequel le roi Rodolphe III de Bourgogne donne à sa fiancée plusieurs villes et villages, dont Neuchâtel, Auvernier et Arins. Arins était une situation privilégiée : la proximité du lac, la position dominante de la partie haute de la ville et, surtout, la présence d'une rivière, le Ruau, qui permettait d'alimenter des moulins et autres machines.